Baila España est invitée au Festival on Marche à Marrakech 2024

Rédigé le 05/03/2024
marrakechartnews

Baila España, le festival itinérant de danse contemporaine de l’Institut Cervantes, se présente pour la première fois au Maroc, dans le cadre du Festival International de Danse Contemporaine de Marrakech « On Marche ». Avec la participation de Luz Arcas, directrice et chorégraphe de La Pharmaco, qui présentera un extrait inspiré de sa pièce Toná, le jeudi 7 mars à 17 heures, à la Terrasse du Es-Saadi Palace.
Toná émerge de la nécessité d’incarner une identité vaste, refusant de se définir, étroitement liée à la mémoire collective et aux imaginaires populaires, avec toute sa complexité. Une poésie qui donne voix à la matérialité de l’existence, qui palpite au rythme de la vie, porte en elle non seulement la ferveur de la colère et de la joie, mais également le poids des préjugés et des superstitions. Un corps en harmonie avec ses énergies vitales, mêlé de maladie, de vieillesse, de mort, il ne choisit pas entre croire ou soupçonner : il mêle foi et méfiance, se répétant qu’aimer, c’est posséder le ciel et constater que le ciel n’a rien.
Luz Arcas crée la compagnie La Phármaco en 2009. Parmi ses réalisations, on peut mentionner Mariana, Todas las santas, Trilla, Toná et Bekristen/Tríptico de la prosperidad. Actuellement, elle prépare Bordo poniente, sa prochaine pièce de danse qui se déroulera à Guadalajara. Luz Arcas a été récompensée par le II Prix Godot 2023 du meilleur spectacle de danse pour Mariana.
Le Festival International de Danse Contemporaine à Marrakech On Marche témoigne de l’engagement du Maroc à soutenir les arts de la scène et à offrir des opportunités aux artistes pour partager leurs créations. Les éditions précédentes ont été marquées par une diversité d’approches artistiques, faisant de On Marche un événement incontournable pour les professionnels et amateurs de la danse contemporaine en Afrique. Les chorégraphes et les artistes du festival sont souvent des pionniers, créant des œuvres qui défient les conventions et repoussent les limites des formes artistiques.

Baila España, le festival itinérant de danse contemporaine de l’Institut Cervantes, se présente pour la première fois au Maroc, dans le cadre du Festival International de Danse Contemporaine de Marrakech « On Marche ». Avec la participation de Luz Arcas, directrice et chorégraphe de La Pharmaco, qui présentera un extrait inspiré de sa pièce Toná, le jeudi 7 mars à 17 heures, à la Terrasse du Es-Saadi Palace.
Toná émerge de la nécessité d’incarner une identité vaste, refusant de se définir, étroitement liée à la mémoire collective et aux imaginaires populaires, avec toute sa complexité. Une poésie qui donne voix à la matérialité de l’existence, qui palpite au rythme de la vie, porte en elle non seulement la ferveur de la colère et de la joie, mais également le poids des préjugés et des superstitions. Un corps en harmonie avec ses énergies vitales, mêlé de maladie, de vieillesse, de mort, il ne choisit pas entre croire ou soupçonner : il mêle foi et méfiance, se répétant qu’aimer, c’est posséder le ciel et constater que le ciel n’a rien.
Luz Arcas crée la compagnie La Phármaco en 2009. Parmi ses réalisations, on peut mentionner Mariana, Todas las santas, Trilla, Toná et Bekristen/Tríptico de la prosperidad. Actuellement, elle prépare Bordo poniente, sa prochaine pièce de danse qui se déroulera à Guadalajara. Luz Arcas a été récompensée par le II Prix Godot 2023 du meilleur spectacle de danse pour Mariana.
Le Festival International de Danse Contemporaine à Marrakech On Marche témoigne de l’engagement du Maroc à soutenir les arts de la scène et à offrir des opportunités aux artistes pour partager leurs créations. Les éditions précédentes ont été marquées par une diversité d’approches artistiques, faisant de On Marche un événement incontournable pour les professionnels et amateurs de la danse contemporaine en Afrique. Les chorégraphes et les artistes du festival sont souvent des pionniers, créant des œuvres qui défient les conventions et repoussent les limites des formes artistiques.